Pour apprendre les invocations ludiquement découvrez ce petit trésor destiné aux enfants mais pas seulement ! Les adultes aussi trouveront cet accessoire assurément plaisant. Car oui, Dou’a Pocket c’est une idée vraiment chouette, qui ne peut que vous plaire ! Découvrez avec nous cette petite merveille.
Dou’a Pocket qu’est-ce que c’est ?
Vous découvrirez ici 50 invocations quotidiennes de la vie du musulman. Toutes rassemblées soigneusement à travers des cartes illustrées très joliment. Et accrochées à un anneau porte-clef pour une praticité assurée.
Chaque carte nous informe de la dua à prononcer dans chaque situation en particulier. Et ce en langue arabe au recto et au verso, en phonétique et en français. Ainsi tout le monde peut aisément l’utiliser.
En outre, ces cartes vivement colorées offrent un repérage plus aisé. En clair, c’est LE petit accessoire de poche à se procurer.
Dou’a Pocket un cadeau qui plait !
En effet, que ce soit pour son contenu bénéfique, sa présentation ludique ou encore son format assurément pratique, dou’a pocket est un cadeau qui fait autant plaisir qu’il est utile.
Qu’il soit destiné à l’apprentissage des doua enfants ou encore à celui d’un proche très récemment devenu musulman il fera plaisir pour sa simplicité. Mais aussi pour les précieux bénéfices qu’il offre à tout membre de notre communauté.
C’est donc un plaisir d’évoquer Allah plus facilement par cet outil qui nous permet d‘apprendre les invocations ludiquement.
En outre, il s’agit d’un présent que vous pourrez offrir tout à fait sereinement, puisqu’il ne contient que des invocations de sources authentiques.
Un recueil d’invocations un cadeaux précieux
Dans la vie du musulman, l’invocation est un trésor pour le cœur. Ainsi qu’une cause de bénédiction et une protection sans hésitation.
En effet, les doua sont telle une arme pour le croyant comme l’explique Imam Muhammad Ibn Abî Bakr Ibn Qayyîm al-jawziya. Il explique que “Lorsque l’arme est exempte de tout défaut, que le bras de celui qui l’utilise est fort et que rien ne vient l’empêcher de frapper, l’ennemi est touché. À l’inverse, si l’une de ces trois choses manque, l’impact n’aura pas lieu.”
En outre, Cheikh Raslan explique que les douas “se doivent d’être une règle à laquelle on ne déroge pas. Plus importantes que la respiration.” Il nous met en garde contre le fait de les négliger. Car si tel est le cas, nous nous engageons dans la bataille sans aucune arme.”