Le sermon triomphant du Sultan regorge d’enseignements bénéfiques pour l’ensemble de la communauté musulmane sans exception. Celui-ci a été rédigé par Soulaymân, roi du Maroc, afin d’appeler les gens au Tawhid. Découvrez-le sans plus attendre, et méditez sur cette incitation à se conformer au Coran et à la Sounnah du prophète Muhammad, que la paix et la bénédiction soient sur lui.
Le sermon triomphant du Sultan, ou l’éloquence d’un gouverneur qui s’adresse à son peuple
Après avoir composé ce sermon de lui-même, le sultan a ordonné sa délivrance auprès de tous les marocains sur l’ensemble du territoire. Il fut donc distribué aux nombreux prêcheurs pour que ceux-là le lisent aux croyants lors de la prière du vendredi.
Dans le sermon triomphant du Sultan, on retrouve de précieuses recommandations destinées aux musulmans. Elles les mettent notamment en garde contre toute forme d’idolâtrie et appellent au Tawhid. Aussi, elle dissuade les gens de suivre la voie des criminels. Le sultan vise particulièrement ceux qui ne nourrissent aucun regret à manger des bienfaits qu’Allah a accordés. Il n’épargne pas non plus ceux qui ont fait le choix de se détourner d’Allah en adorant autre que Lui.
L’attachement à la tradition prophétique
L’auteur du sermon triomphant du Sultan met clairement en garde contre ceux dont cheytane a détourné de l’attachement à la Sounnah. Les nobles caractères prennent conscience de l’importance du suivi des préceptes présents dans le Coran et la Sounnah. D’ailleurs, le fait de s’en détourner pousse à l’égarement. Prenez le temps de découvrir ces quelques lignes. Il s’agit d’une œuvre riche composée par un gouverneur éloquent qui s’adresse à son peuple.
La place du gouverneur en islam
Dans le Coran, Allah exhorte les croyants à Lui obéir, puis au messager et au gouverneur. Prêter allégeance à un gouverneur fait partie des causes qui mène à l’unité. La désobéissance envers celui-ci pousse, quant à elle, à l’instabilité en société. Donc, le croyant se doit d’obéir au gouverneur, à condition que celui-ci ne lui ordonne pas une chose qui entre en contradiction avec la législation islamique.