Les effets du dhikr contre la tristesse sont bel et bien réels. Combattez ce sentiment en vous servant des moyens qu’Allah et Son messager ont mis à votre disposition. L’islam fournit divers remèdes pour chaque maux rencontrés. A nous d’apprendre la religion musulmane afin d’en tirer le meilleur parti ici-bas et dans l’au-delà.
Les effets du dhikr contre la tristesse pour illustrer les bienfaits de l’islam
Prenons avant tout le temps de définir le terme “dhikr”. Vous vous en doutez, ce mot provient de la langue arabe. Il permet de désigner les invocations. Allah a parachevé sa religion. Celle-ci regorge de bienfaits pour les croyants sincères. Évoquer Allah de nuit comme de jour permet d’apaiser les cœurs. Alors, procurez-vous la citadelle du musulman, un recueil d’invocations essentielles pour le musulman au quotidien.
Invoquer Allah permet de soulager les maux, et de repousser les sentiments négatifs qui perturbent l’individu. Glorifier le Seigneur des mondes régulièrement provoque un éloignement de la tristesse, de la colère, … Si la Taqwa est la cause de tout bien, les invocations contribuent elles aussi à l’augmentation de la foi.
Le bonheur se trouve dans le rappel d’Allah
Réciter le Coran, invoquer Allah, apprendre la science religieuse en assistant aux assises permet de goûter à la douceur de la foi. Le croyant se doit de privilégier l’islam. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que de la religion découle le bonheur sur Terre et après la mort. Le paradis s’obtient d’ailleurs avec la soumission aux ordres d’Allah. Une introspection s’impose, puis la réforme des individus, afin d’améliorer la vie en société.
La détermination des priorités fait partie des priorités
Chacun d’entre nous doit fréquemment se remettre en question afin de déterminer là où se trouvent les priorités. Rappelons notamment qu’Allah nous a créés afin de l’adorer. Les mondanités, bien que cela soit halal, doivent passer en second plan. Bonne lecture à vous du livre Les effets du dhikr contre la tristesse.
Invocation contre la tristesse
اللّهُـمَّ إِنِّي عَبْـدُكَ ابْنُ عَبْـدِكَ ابْنُ أَمَتِـكَ نَاصِيَتِي بِيَـدِكَ، مَاضٍ فِيَّ حُكْمُكَ، عَدْلٌ فِيَّ قَضَاؤكَ أَسْأَلُـكَ بِكُلِّ اسْمٍ هُوَ لَكَ سَمَّـيْتَ بِهِ نَفْسَكَ أِوْ أَنْزَلْتَـهُ فِي كِتَابِكَ، أَوْ عَلَّمْـتَهُ أَحَداً مِنْ خَلْقِـكَ أَوِ اسْتَـأْثَرْتَ بِهِ فِي عِلْمِ الغَيْـبِ عِنْـدَكَ أَنْ تَجْـعَلَ القُرْآنَ رَبِيـعَ قَلْبِـي، وَنورَ صَـدْرِي وجَلَاءَ حُـزْنِي وذَهَابَ هَمِّـي
Ô Seigneur! Je suis Ton serviteur, fils de Ton serviteur et de Ta servante, mon toupet est dans Ta main. Ton jugement s’accomplit sur moi, Ton décret sur moi est juste. Par les noms qui T’appartiennent avec lesquels Tu T’es nommé, ou que Tu as révélés dans Ton Livre ou que Tu as enseignés à l’une de Tes créatures, ou bien que Tu as gardé secret dans Ta science de l’inconnu, je Te demande de rendre le Coran le printemps de mon cœur, la lumière de ma poitrine, la dissipation de ma tristesse et la fin de mes soucis.
Allâhumma innî cabduka, ibnu cabdika, ibnu amatika. Nâsiyatî bi-yadika. Mâdin fiyya hukmuka, cadlun fiyya qadâ’uka. As’aluka bi-kulli smin huwa laka, sammayta bihi nafsaka, aw anzaltahu fî kitâbika, aw callamtahu ahadan min khalqika, aw ista’tharta bihi fî cilmi-l-ghaybi cindaka, an tajcala-l-qur’âna rabîca qalbî, wa nûra ssadrî, wa jalâ’a huznî, wa dhahâba hammî.
اللّهُـمَّ إِنِّي أَعْوذُ بِكَ مِنَ الهَـمِّ وَ الْحُـزْنِ، والعًجْـزِ والكَسَلِ والبُخْـلِ والجُـبْنِ، وضَلْـعِ الـدَّيْنِ وغَلَبَـةِ الرِّجال
Ô Seigneur! Je me mets sous Ta protection contre les soucis et la tristesse, contre l’incapacité et la paresse, contre l’avarice et la lâcheté, contre le poids de la dette et la domination des hommes.
Allâhumma innî acûdhu bika mina-l-hammi wa-l-hazani, wa-l-cajzi wa-l-kasali, wa-l-bukhli wa-l-jubni, wa dalaci d-dayni wa ghalabati r-rijâl.