Comment j’ai connu Allah ? A une telle question, on se doit d’apporter une réponse spirituelle qui pousse à la méditation. La communauté de Muhammad (paix et bénédiction sur lui) comporte de nombreux individus nés et issus d’une famille musulmane. Cependant, de nombreux convertis ont fait l’effort de chercher la vérité, parmi des religions et des idéologies différentes. Leur témoignage pousse à la réflexion et provoque un raffermissement du cœur.
Comment j’ai connu Allah ? Une question qui prend tout son sens
Avoir la capacité de répondre à cette question prouve votre croyance ferme, ainsi qu’une maîtrise de votre sujet. Notre époque est marquée par un manque cruel de savoir. Si on devait réaliser une expérience sociale qui porterait sur des interrogations en lien avec les bases de l’islam, peu de questionnés aurait la faculté à répondre à toutes les questions.
Comment j’ai connu Allah fait partie des questions auxquelles le croyant sincère se doit de pouvoir répondre. Elle traduit la profondeur de nos convictions religieuses, ainsi que le savoir dont on dispose concernant le Seigneur des Mondes.
Bien plus qu’une question, une remise en question
Le titre de cet ouvrage de Cheikh As Sa’di pousse à la méditation. Le croyant a connu Allah en raison de Ses signes. Les réflexions sur la création poussent à la méditation, mais aussi au fait de reconnaître l’existence d’un Seigneur unique.
De la réponse à cette question découle toute votre aqida. En effet, le fait de reconnaître le Tawhid d’Allah pousse à croire aux six piliers de la foi. L’attestation de foi, qui marque l’accession à l’islam, comprend la proclamation du Tawhid à Allah, ainsi que la prophétie de Muhammad.
La mise en évidence de la dimension spirituelle avec le livre Comment j’ai connu Allah ?
De nos jours, on a tendance à mettre en avant l’accomplissement des actes d’adoration, au détriment de la dimension spirituelle. Il s’agit d’une erreur fondamentale puisque de la spiritualité découle la aqida, donc l’intention, donc la validité ou non des actes.